Fallout 4, le test
Comment Bethesda a-t-il abordé la création de cet opus d’une license mythique, attendue par les fans depuis si longtemps? Comment séduire les nouveaux joueurs et répondre aux attente des junkies de la licence post-apocalyptique?
L’attente aura été longue depuis le troisième opus, sortit en 2008. Car si New vegas aura put calmer leur impatience, les puriste aurons considéré celui-ci comme une histoire parallèle à Fallout 3 et non comme une suite, les événement s’y déroulant n’ayant aucun lien avec le précédent.
Une vrai suite pour Fallout 3?
Le scénario de Fallout 4 prend place en 2287 soit 10 ans après Fallout 3. Les créateurs du jeu propose ici une phase de présentation jouable de l’ancien monde, sorte de mix des années 50 et d’un futur robotisé. Certains ne s’y retrouvent pas dans cette partie du jeu, qui a l’avantage de reprendre la main sur les commandes et de personnaliser votre personnage. Tout ceci est très scripté bien sûr, mais à ce point du jeu on n’en attend pas plus pour moi.
Vous sortez donc veuf de l’abri 111 après 210 ans de cryogénisation et partez en quête de votre fils dans les terres désolées. Vous retrouverez dans votre pavillon d’une charmante banlieue du Massachusetts votre robot domestique Codsworth qui pourras vous aider dans votre aventure.
Un pip-boy d’occasion ramassé dans l’abri vous accompagne aussi et on retrouve avec plaisir son interface monochrome verte. Il vous permet de vous localiser, de vous renseigner sur vos tâches et de gérer votre inventaire.
Le décor est rapidement planté et il vous faudra trouver rapidement de quoi survivre dans ce monde hostile qui a bien changé et ou vous croiserez de nombreux groupes de survivants organisés pour certains en factions et qui pourront vous demander de l’aide, ou simplement tenter de vous tuer.
Customisation et construction
La mécanique de jeu est simple, et on découvre rapidement que tous les objets que vous trouverez peuvent être utiles. En effet des ateliers d’armes, d’armures, de chimie et autres sont dispersés sur la carte et vous permettrons de nombreuses créations. Ils ne sont pas sans rappeler les mécanismes de Skyrim, et même d’autres titres comme Rust quand on découvre le système de Craft. Il vous est donc possible de créer un abri qui vous servira de base et de vous établir un campement complet qui vous fournira défense, nourriture et stockage. Les options d’améliorations étant presque sans limite, on prend plaisir à collecter des tonnes d’objets et à fouiller les nombreux bâtiments visitables. Des heures de bricolages en vue et plus de celle dédiés aux quêtes et à l’exploration!
Plein les yeux
La découverte de l’immense carte est un plaisir pour les yeux. Bien que les détracteurs reprochent à Bethesda d’avoir utilisé le moteur graphique de Skyrim (Gamebryo) dans une version améliorée au lieu de l’id Tech 5 par exemple, les développeurs rappellent que le nombre d’objets répartis sur l’open world aurait mis à genoux celui-ci.
On profite donc bien mieux de la taille de la carte de du grand nombre d’interactions possibles avec ce choix. On note aussi que les graphistes ont fait un travail colossal sur les détails des décors. Du fait de ce grand nombre d’objets et de l’ouverture totale du monde, on rencontre parfois des bugs. Pour ma part ils n’ont pas dégradé mon expérience de ce jeu.
On y va alors ?
Oui !!!! Ce titre n’esquinte pas la série que j’aimais déjà et ajoute des mécaniques qui lui manquait. Les fans s’y retrouverons et les nouveaux venus accrocheront (quitte à retourner vers les anciens opus pour le plaisir)
Bisous partout.
Math
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